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Infrastructure technique

page crée: 28/2/09 Dernière mise à jour: 28/2/09

Matériel de numérisation

Studio

Portable

Télécharger les spécifications studio et portable (PDF 32 Ko)

Diagramme des flux d'activité

Diagramme des flux d'activité IDP

Toute information supplémentaire concernant l'objet numérisé peut être incluse dans la base de données en 4D - dossiers de conservation, entrées de catalogues, éléments de recherche, etc.

Télécharger le diagramme des flux d'activité (PDF 72 Ko).

Présentation générale de la base de données et du site

Le site web d'IDP donne accès à un système client/serveur de gestion des contenus et des images, ainsi qu'à une base de données de catalogage en 4D, desservie par Active 4D, avec Qpix pour les images.

Les données de catalogage et de bibliographie sont codées en XML en utilisant une forme légèrement modifiée des spécifications TEI (Text Encoding Initiative). On trouvera des formulaires aux pages des ressources techniques. Les données sont alors importées et mises en mémoire sous forme d'un BLOB (Binary Large Object) dans la base de données.

Gestion et synchronisation à distance du site

L'IDP est un projet de coopération international, pourvu d'une direction et d'une équipe technique et logistique basée à la British Library à Londres. Il comprend aussi diverses antennes de par le monde, centres de recherches hébergés par des bibliothèques et des musées. Toutes ces institutions disposent de leur propre base de données IDP et d'un site web en langue locale.

En outre, IDP héberge les données de plusieurs organisations qui ne disposent pas de leur propre serveur : ainsi, des données du British Museum, du Victoria and Albert Museum, de la bibliothèque Chester Beatty, etc., sont stockées dans le serveur IDP de la British Library. IDP Chine, entre autres, détient des données sur d'autres collections chinoises... IDP France regroupe la BnF et le musée Guimet. Ainsi, les centres IDP fonctionnent comme des plaques tournantes dans leurs pays respectifs.

Chaque centre IDP a un accès en lecture-écriture à ses propres données, ainsi qu'à celles qu'il accueille, et un simple accès en lecture aux données des autres centres. Les modifications ou adjonctions aux données sont automatiquement et immédiatement répercutées sur les autres serveurs, et il en va de même pour les modifications ou adjonctions opérées sur les autres serveurs. De cette façon, chaque centre dispose d'une ensemble de données complet et constamment à jour.

L'équipe technique de l'IDP au Royaume-Uni se charge, avec l'aide des équipes locales, de l'entretien du serveur web de la base de données et de son logiciel, en utilisant le logiciel d'accès à distance multi-plates-formes Timbuktu Pro.

Métadonnées

Les données IDP peuvent être stockées en trois formats : 1) dans un système structuré de gestion de contenus, 2) en XML, en utilisant une DTD normalisée (TEI), 3) avec des images (métadonnées "implicites"). Dans tous les cas, un ensemble standard de métadonnées de base est saisi par IDP, de manière conforme aux normes internationales, et cartographiable par rapport à ces normes. Ainsi par exemple, IDP utilise l'ensemble de base de quinze éléments clés défini par le schéma générique Dublin Core (Title, Creator, Subject, Description, Publisher, Contributor, Date, Type, Format, Identifier, Source, Language, Relation, Coverage, and Rights).

Notons, cependant, que les données IDP couvrent une grande diversité de sujets, dont chacun comprend ses critères spécifiques pour les métadonnées. IDP saisit toutes les métadonnées de base nécessaires à chacun : ainsi, par exemple, les principaux éléments descriptifs spécialisés propres aux manuscrits ou aux œuvres d'art tels que leur dimension, leur état, leurs inscriptions, les traitements conservatoires, l'historique des expositions et/ou des prêts, ainsi que les données géospatiales pertinentes.

Les fichiers RAW et les gros fichiers TIFF créés par les logiciels de caméra numérique comportent des métadonnées techniques intégrées de trois types : caractéristiques du fichier (format, dimensions, etc.) ; de la caméra (EXIF-Exchangeable Image File Format) ; et de la propriété intellectuelle (IPTC - International Press Telecommunications Council). En outre, le nom de l'image numérique (DIN) est utilisé pour incruster une information de base liant l'image numérisée de l'objet à l'original et à l'emplacement de sa reproduction numérique.

Le DIN est composé des éléments suivants :

Le préfixe (par exemple BLX1) est identique au nom et au dossier DVD sur le RAID où l'image numérique est stockée. Il se décompose en trois parties :

Le préfixe est toujours suivi d'un tiret bas.

Le suffixe précise le type d'image comme suit :

Il est toujours précédé d'un tiret bas.

EXEMPLE: l'image brute de la première prise du recto du rouleau de la British Library portant le cachet Or.8210/S.395 doit donc porter la dénomination suivante : BLX1-OR8210S395R1_1_R.tif

Ici, le numéro de DVD et/ou de dossier (BLX1) est suivi de la référence du manuscrit (Or.8210/S.395) et de celle de la section (R1, qui indique le premier texte au recto du rouleau). Ces données sont toujours entrées sans séparation telles que traits d'union, barres obliques ou autres caractères non indispensables comme le point final. Ensuite vient le numéro de la prise (première prise de ce texte), puis le suffixe qui précise le type de l'image.

Pour en savoir davantage sur les métadonnées, se reporter à la page sur les Liens techniques.

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